Découvrir mon analyse simplifiée

Cette étape vous permet en quelques questions de vous faire une première idée des possibilités de mise en place d’un projet en éco-pâturage sur votre parcelle (surface, bêtes, objectifs de gestion,…). L’objectif est de pouvoir synthétiser les données et les réponses qui se rapprochent le plus des particularités de votre secteur en gestion.

Attention cependant, les réponses à ce questionnaire sont automatiques et essayent de couvrir un maximum de cas possibles mais cela reste des réponses générales qui demanderont forcément une analyse plus approfondie de votre espace si vous passez le cap vers la mise en place d’éco-pâturage. Pour avoir des informations plus précises, rendez-vous dans les autres parties de la plateforme ou contactez-nous directement (lien vers le formulaire contact).

Surface en éco-pâturage envisagée
Type de milieu (milieu dominant sur le site)
Objectif principal de gestion pour vous sur la parcelle
Quel serait pour vous la pratique d’éco-pâturage optimale pour votre projet ?
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses,...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours par un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

Vous voulez vous lancer ?
Déposer une annonce pour chercher des bêtes auprès d'un éleveur : Je cherche des bêtes
Découvrir les annonces des éleveurs qui recherchent du terrain : Petites annonces

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses,...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main où le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses,...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses,...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses,...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses,...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses,...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place, cependant la petite surface en gestion ne doit pas être en frein pour favoriser la biodiversité. De nombreux aménagements / actions de gestion, favorables à la biodiversité, sont possibles même sur une petite surface et compatibles avec l'éco-pâturage (plantation de haies, création de mares, verger,...). La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses,...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place, cependant la petite surface en gestion ne doit pas être en frein pour favoriser la biodiversité. De nombreux aménagements / actions de gestion, favorables à la biodiversité, sont possibles même sur une petite surface et compatibles avec l'éco-pâturage (plantation de haies, création de mares, verger,...). La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses,...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place, cependant la petite surface en gestion ne doit pas être en frein pour favoriser la biodiversité. De nombreux aménagements / actions de gestion, favorables à la biodiversité, sont possibles même sur une petite surface et compatibles avec l'éco-pâturage (plantation de haies, création de mares, verger,...). La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses,...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses,...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses,...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.

À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture. Attention, un chargement plus important sur une prairie humide pourrait entrainer une dégradation du milieu.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture. Attention, un chargement plus important sur une prairie humide pourrait entrainer une dégradation du milieu.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture. Attention, un chargement plus important sur une prairie humide pourrait entrainer une dégradation du milieu.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (amphibiens, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (garder un secteur inondé non pâturé pour favoriser la reproduction des amphibiens par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore et au développement de la faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (amphibiens, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (garder un secteur inondé non pâturé pour favoriser la reproduction des amphibiens par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore et au développement de la faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.
En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (amphibiens, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (garder un secteur inondé non pâturé pour favoriser la reproduction des amphibiens par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore et au développement de la faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
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La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place, cependant la petite surface en gestion ne doit pas être en frein pour favoriser la biodiversité. De nombreux aménagements / actions de gestion, favorables à la biodiversité, sont possibles même sur une petite surface et compatibles avec l'éco-pâturage (plantation de haies, création de mares, verger,...). La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place, cependant la petite surface en gestion ne doit pas être en frein pour favoriser la biodiversité. De nombreux aménagements / actions de gestion, favorables à la biodiversité, sont possibles même sur une petite surface et compatibles avec l'éco-pâturage (plantation de haies, création de mares, verger,...). La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place, cependant la petite surface en gestion ne doit pas être en frein pour favoriser la biodiversité. De nombreux aménagements / actions de gestion, favorables à la biodiversité, sont possibles même sur une petite surface et compatibles avec l'éco-pâturage (plantation de haies, création de mares, verger,...). La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

Le changement de gestion entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation, ouverture du milieu…). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). Pour ce type de gestion, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite si cela est l'objectif de gestion sur ce site. La gestion par éco-pâturage permettra de conserver des secteurs ouverts au milieu de l'espace embroussaillé.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

Le changement de gestion entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation, ouverture du milieu…). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). Pour ce type de gestion, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite si cela est l'objectif de gestion sur ce site. La gestion par éco-pâturage permettra de conserver des secteurs ouverts au milieu de l'espace embroussaillé.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

Le changement de gestion entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation, ouverture du milieu…). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). Pour ce type de gestion, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite si cela est l'objectif de gestion sur ce site. La gestion par éco-pâturage permettra de conserver des secteurs ouverts au milieu de l'espace embroussaillé.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dïoique, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours par un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dïoique, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).
Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).
Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Sur ces types de milieux (talus / côteaux) une faune et une flore spécifique peut parfois s'y développer. Une attention particulière devra être mise en place par le gestionnaire. Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Sur ces types de milieux (talus / côteaux) une faune et une flore spécifique peut parfois s'y développer. Une attention particulière devra être mise en place par le gestionnaire. Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Sur ces types de milieux (talus / côteaux) une faune et une flore spécifique peut parfois s'y développer. Une attention particulière devra être mise en place par le gestionnaire. Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être pâturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en hautes tiges sur une petite surface seront aussi pâturés par des ovins et des caprins (risques pour les bourgeons limités dans ce cas). Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en hautes tiges sur une petite surface seront aussi pâturés par des ovins et des caprins (risques pour les bourgeons limités dans ce cas). Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à par un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être pâturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en hautes tiges sur une petite surface seront aussi pâturés par des ovins et des caprins (risques pour les bourgeons limités dans ce cas). Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être pâturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en hautes tiges sur une petite surface seront aussi pâturés par des ovins et des caprins (risques pour les bourgeons limités dans ce cas). Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture. Cette réouverture ne pourra pas se faire avec des animaux de basse-cour.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être pâturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en hautes tiges sur une petite surface seront aussi pâturés par des ovins et des caprins (risques pour les bourgeons limités dans ce cas). Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture. Cette réouverture ne pourra pas se faire avec des animaux de basse-cour.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).
Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être pâturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en hautes tiges sur une petite surface seront aussi pâturés par des ovins et des caprins (risques pour les bourgeons limités dans ce cas). Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture. Cette réouverture ne pourra pas se faire avec des animaux de basse-cour.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être pâturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en hautes tiges sur une petite surface seront aussi pâturés par des ovins et des caprins (risques pour les bourgeons limités dans ce cas). Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être pâturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en hautes tiges sur une petite surface seront aussi pâturés par des ovins et des caprins (risques pour les bourgeons limités dans ce cas). Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à par un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).
Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être pâturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en hautes tiges sur une petite surface seront aussi pâturés par des ovins et des caprins (risques pour les bourgeons limités dans ce cas). Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être pâturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en hautes tiges sur une petite surface seront aussi pâturés par des ovins et des caprins (risques pour les bourgeons limités dans ce cas). Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être pâturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en hautes tiges sur une petite surface seront aussi pâturés par des ovins et des caprins (risques pour les bourgeons limités dans ce cas). Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être pâturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en hautes tiges sur une petite surface seront aussi pâturés par des ovins et des caprins (risques pour les bourgeons limités dans ce cas). Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).
Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, même si c'est surtout la cas avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

Le maintien de l'espace en l'état actuel sur un boisement, permettra de faciliter le nettoyage des sous-bois, l'entretien des espaces ouverts afin de garder une mosaïque de milieux présents et gardera les chemins ouverts plus facilement.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, même si c'est surtout la cas avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

Le maintien de l'espace en l'état actuel sur un boisement, permettra de faciliter le nettoyage des sous-bois, l'entretien des espaces ouverts afin de garder une mosaïque de milieux présents et gardera les chemins ouverts plus facilement.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, même si c'est surtout la cas avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

Le maintien de l'espace en l'état actuel sur un boisement, permettra de faciliter le nettoyage des sous-bois, l'entretien des espaces ouverts afin de garder une mosaïque de milieux présents et gardera les chemins ouverts plus facilement.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, même si c'est surtout la cas avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture. Sur un boisement, le maintien des espaces ouverts permettra de limiter les interventions dans des endroits souvent peu accessibles.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, même si c'est surtout la cas avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture. Sur un boisement, le maintien des espaces ouverts permettra de limiter les interventions dans des endroits souvent peu accessibles.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, même si c'est surtout la cas avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture. Sur un boisement, le maintien des espaces ouverts permettra de limiter les interventions dans des endroits souvent peu accessibles.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, même si c'est surtout la cas avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).
Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, même si c'est surtout la cas avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, même si c'est surtout la cas avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, même si c'est surtout la cas avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

Vous voulez vous lancer ?
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Découvrir les annonces des éleveurs qui recherchent du terrain : Petites annonces

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, même si c'est surtout la cas avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Avec une surface de 1ha ou moins il ne sera pas possible de mettre en place de l'éco-pâturage à l'aide de bovins et d'équins sur votre parcelle. Le nombre de bêtes sera forcément limité pour garder un chargement sur la parcelle en éco-pâturage relativement faible. À noter que l'utilisation d'ovins ou de caprins entrainera la mise en place de clôtures en ursus (coût plus élevé que du barbelé). Concernant l'alimentation, les ressources fourragères (qualité et quantité du fourrage) devront être étudiées et il sera peut-être plus pertinent de mettre en place un éco-pâturage sur seulement une partie de l'année (estivale ou hivernale) plutôt que sur toute l'année.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, même si c'est surtout la cas avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé.

Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.

Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent). Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire. À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dïoique, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dïoique, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dïoique, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire. Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorces) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorces) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorces) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorces) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorces) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorces) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorces) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorces) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorces) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorces) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorces) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorces) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

La taille de votre parcelle semble pouvoir accueillir tout type d'animaux (ovins, bovins, caprins, équins,...) cependant si votre parcelle est proche de 1ha l'utilisation d'équins et de bovins sera délicate pour respecter un chargement adapté. À l'inverse, si vous êtes proche des 5ha et que vous souhaitez utiliser des ovins ou des caprins il faudra posséder un grand nombre de bêtes (+ de 30). Sur votre parcelle il sera sans doute possible de mettre en place un pâturage hivernale même avec les bovins si vous avez au moins 4ha. Pour les clôtures, suivant le type d'animaux et le type d'espace vous pourrez utiliser de l'ursus ou du barbelé (plusieurs rangées sont nécessaires pour éviter que les animaux ne s'échappent).

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Dans cet optique, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementation sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Concernant le milieu, votre site est composé principalement de secteurs de prairie. Il faut bien faire attention qu'un abri naturel soit disponible sur le site (arbres, haies denses, ...). Si cela n'est pas le cas il faudra prévoir un abri artificiel. La qualité et la quantité fourragère devront être étudiées en accord avec l'éleveur ou le prestataire.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins. Les bovins sont moins représentés.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

Vous voulez vous lancer ?
Déposer une annonce pour chercher des bêtes auprès d'un éleveur : Je cherche des bêtes
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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Sur les grandes parcelles, la mise en place d'un pâturage tournant permet de faire coexister différentes structures et états de végétation, ce qui est favorable à la diversité végétale et animale. Dans cette optique aussi, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementations sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Sur les grandes parcelles, la mise en place d'un pâturage tournant permet de faire coexister différentes structures et états de végétation, ce qui est favorable à la diversité végétale et animale. Dans cette optique aussi, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementations sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Sur les grandes parcelles, la mise en place d'un pâturage tournant permet de faire coexister différentes structures et états de végétation, ce qui est favorable à la diversité végétale et animale. Dans cette optique aussi, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementations sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins, si la parcelle a été divisée. Les bovins sont moins représentés. Les équins semblent laisser trop de zones de refus de pâturage pour constituer une option intéressante dans un projet visant à lutter contre des plantes invasives.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins, si la parcelle a été divisée. Les bovins sont moins représentés. Les équins semblent laisser trop de zones de refus de pâturage pour constituer une option intéressante dans un projet visant à lutter contre des plantes invasives.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Sur une prairie humide, il est important d'étudier la portance du sol, les animaux lourds ne seront pas tous adaptés sur des sols présentant une faible portance. Il est important de savoir si votre site est inondé sur une période de l'année afin d'adapter les périodes de pâturage si cela est nécessaire.
À noter que l'utilisation de races rustiques est fortement conseillée sur ce type de terrain inondable.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins, si la parcelle a été divisée. Les bovins sont moins représentés. Les équins semblent laisser trop de zones de refus de pâturage pour constituer une option intéressante dans un projet visant à lutter contre des plantes invasives.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture. Il convient de noter notamment que certaines pelouses _ les pelouses calcaires _ sont des milieux fragiles dont l'existence même est associée au pâturage et sont considérées comme des hotspots de biodiversité. La restauration de ces milieux passera le plus souvent par un pâturage ovin qui s'attaquera aux rejets ligneux et aux plantes coriaces.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture. Il convient de noter notamment que certaines pelouses _ les pelouses calcaires _ sont des milieux fragiles dont l'existence même est associée au pâturage et sont considérées comme des hotspots de biodiversité. La restauration de ces milieux passera le plus souvent par un pâturage ovin qui s'attaquera aux rejets ligneux et aux plantes coriaces.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture. Il convient de noter notamment que certaines pelouses _ les pelouses calcaires _ sont des milieux fragiles dont l'existence même est associée au pâturage et sont considérées comme des hotspots de biodiversité. La restauration de ces milieux passera le plus souvent par un pâturage ovin qui s'attaquera aux rejets ligneux et aux plantes coriaces.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Sur les grandes parcelles, la mise en place d'un pâturage tournant permet de faire coexister différentes structures et états de végétation, ce qui est favorable à la diversité végétale et animale. Dans cette optique aussi, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementations sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Sur les grandes parcelles, la mise en place d'un pâturage tournant permet de faire coexister différentes structures et états de végétation, ce qui est favorable à la diversité végétale et animale. Dans cette optique aussi, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementations sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Sur les grandes parcelles, la mise en place d'un pâturage tournant permet de faire coexister différentes structures et états de végétation, ce qui est favorable à la diversité végétale et animale. Dans cette optique aussi, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementations sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins, si la parcelle a été divisée. Les bovins sont moins représentés. Les équins semblent laisser trop de zones de refus de pâturage pour constituer une option intéressante dans un projet visant à lutter contre des plantes invasives.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins, si la parcelle a été divisée. Les bovins sont moins représentés. Les équins semblent laisser trop de zones de refus de pâturage pour constituer une option intéressante dans un projet visant à lutter contre des plantes invasives.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Votre pelouse fait très certainement l'objet d'une tonte plus ou moins régulière. Ayez en tête que le changement de gestion vers la pratique de l'éco-pâturage va forcément entrainer un changement visuel de celle-ci. Avant la mise en place de l'éco-pâturage il faudra notamment vérifier la quantité et la qualité du fourrage nécessaire à l'alimentation des bêtes sur la parcelle. De plus, l'absence d'arbres dans la parcelle ou aux abords, si cela est le cas, entrainera certainement la construction d'un abri artificiel pour protéger les bêtes surtout lors de fortes chaleurs en été mais aussi en hiver.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins, si la parcelle a été divisée. Les bovins sont moins représentés. Les équins semblent laisser trop de zones de refus de pâturage pour constituer une option intéressante dans un projet visant à lutter contre des plantes invasives.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Sur les grandes parcelles, la mise en place d'un pâturage tournant permet de faire coexister différentes structures et états de végétation, ce qui est favorable à la diversité végétale et animale. Dans cette optique aussi, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementations sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Sur les grandes parcelles, la mise en place d'un pâturage tournant permet de faire coexister différentes structures et états de végétation, ce qui est favorable à la diversité végétale et animale. Dans cette optique aussi, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementations sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Sur les grandes parcelles, la mise en place d'un pâturage tournant permet de faire coexister différentes structures et états de végétation, ce qui est favorable à la diversité végétale et animale. Dans cette optique aussi, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementations sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins, si la parcelle a été divisée. Les bovins sont moins représentés. Les équins semblent laisser trop de zones de refus de pâturage pour constituer une option intéressante dans un projet visant à lutter contre des plantes invasives.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins, si la parcelle a été divisée. Les bovins sont moins représentés. Les équins semblent laisser trop de zones de refus de pâturage pour constituer une option intéressante dans un projet visant à lutter contre des plantes invasives.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Une friche arbustive ou un milieu embroussaillé (prairie,...) peuvent facilement être gérés par éco-pâturage pour retrouver un milieu ouvert. Cet objectif de réouverture du milieu pourra s'obtenir grâce à une pression de pâturage plus importante pour avoir un résultat "rapide" suivant l'état d'embroussaillement du site. Les différentes expériences montrent qu'il est possible de réaliser les réouvertures à l'aide de caprins principalement mais que cela fonctionne aussi très bien avec des bovins (bœufs privilégiés, éviter les génisses) et des ovins. Sur une grande parcelle nous privilégierons les bovins. Ici aussi, l'utilisation de races rustiques est à privilégier sur ce type de milieu.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins, si la parcelle a été divisée. Les bovins sont moins représentés. Les équins semblent laisser trop de zones de refus de pâturage pour constituer une option intéressante dans un projet visant à lutter contre des plantes invasives.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
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Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Sur les grandes parcelles, la mise en place d'un pâturage tournant permet de faire coexister différentes structures et états de végétation, ce qui est favorable à la diversité végétale et animale. Dans cette optique aussi, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementations sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Sur les grandes parcelles, la mise en place d'un pâturage tournant permet de faire coexister différentes structures et états de végétation, ce qui est favorable à la diversité végétale et animale. Dans cette optique aussi, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementations sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Sur les grandes parcelles, la mise en place d'un pâturage tournant permet de faire coexister différentes structures et états de végétation, ce qui est favorable à la diversité végétale et animale. Dans cette optique aussi, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementations sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins, si la parcelle a été divisée. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

Vous voulez vous lancer ?
Déposer une annonce pour chercher des bêtes auprès d'un éleveur : Je cherche des bêtes
Découvrir les annonces des éleveurs qui recherchent du terrain : Petites annonces

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins, si la parcelle a été divisée. Les bovins sont moins représentés.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Les fortes pentes obligent l'utilisation d'ovins et de caprins pour l'entretien de ce type de milieu (terril, coteau calcaire, bassin de rétention,...). La ressource en nourriture peut parfois se faire rare sur ces milieux pauvres et il faudra alors limiter la pression de pâturage et/ou privilégier le pâturage sur une partie de l'année si cela est le cas.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins, si la parcelle a été divisée. Les bovins sont moins représentés.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Sur les grandes parcelles, la mise en place d'un pâturage tournant permet de faire coexister différentes structures et états de végétation, ce qui est favorable à la diversité végétale et animale. Dans cette optique aussi, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementations sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Sur les grandes parcelles, la mise en place d'un pâturage tournant permet de faire coexister différentes structures et états de végétation, ce qui est favorable à la diversité végétale et animale. Dans cette optique aussi, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementations sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être paturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Sur les grandes parcelles, la mise en place d'un pâturage tournant permet de faire coexister différentes structures et états de végétation, ce qui est favorable à la diversité végétale et animale. Dans cette optique aussi, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementations sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être pâturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins, si la parcelle a été divisée. Les bovins sont moins représentés. Les équins semblent laisser trop de zones de refus de pâturage pour constituer une option intéressante dans un projet visant à lutter contre des plantes invasives.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être pâturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins, si la parcelle a été divisée. Les bovins sont moins représentés. Les équins semblent laisser trop de zones de refus de pâturage pour constituer une option intéressante dans un projet visant à lutter contre des plantes invasives.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

Le pâturage d'un verger dépend fortement de la caractéristique des arbres plantés. Les vergers en basses-tiges pourront être pâturés par des animaux de basse-cour (oies, poules,...), les demi-tiges pourront être gérées par de l'ovin ou du caprin. Attention dans ce cas il faut accepter que les bourgeons des branches basses soient mangés par les bêtes (jusqu'à environ 1m30 de hauteur). Les vergers en haute-tige pourront en plus être pâturés par des bovins en plus des ovins et des caprins. Dans tous les cas, les arbres (troncs) devront être protégés pour éviter d'être consommés (écorce) ou abimés à l'aide de tripodes ou multipodes.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïque, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins, si la parcelle a été divisée. Les bovins sont moins représentés. Les équins semblent laisser trop de zones de refus de pâturage pour constituer une option intéressante dans un projet visant à lutter contre des plantes invasives.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

Le changement de gestion, en passant de la tonte ou de la fauche à un pâturage entrainera forcément un changement visuel de l'espace (hauteur de végétation, type de végétation,...). L'éco-pâturage n'entraine pas une gestion homogène, il faut notamment prendre en compte les zones de refus de pâturage (surtout chez les équins). En général, le rendu visuel sera celui d'une pâture et non d'un gazon tondu. Toutefois, un chargement faible en bête peut permettre de maintenir un espace dans un état "embroussaillé" limitant l'apparition d'un boisement par la suite.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

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Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
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En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La restauration de milieu par l'éco-pâturage consiste essentiellement à la réouverture de milieux pour revenir à un état de prairie, de mosaïques de milieux sur le site ou d'une végétation plus rase si l'on se trouve sur des milieux particuliers (terrils, côteaux,...). Selon son niveau de fragilité en termes de biodiversité et de valeur écologique, un chargement plus important pourra être mis en place pour accélérer la réouverture.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Sur les grandes parcelles, la mise en place d'un pâturage tournant permet de faire coexister différentes structures et états de végétation, ce qui est favorable à la diversité végétale et animale. Dans cette optique aussi, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementations sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Sur les grandes parcelles, la mise en place d'un pâturage tournant permet de faire coexister différentes structures et états de végétation, ce qui est favorable à la diversité végétale et animale. Dans cette optique aussi, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementations sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La prise en compte de la biodiversité sur un espace de pâturage entraine forcément une réflexion sur sa mise en place. La prise en compte des cycles de vie de certaines espèces (orchidées, insectes, oiseaux,...) obligera le gestionnaire à établir un calendrier de pâturage adapté (pâturage plus tardif pour les orchidées par exemple). Des zones refuges peuvent être gardées libres de tout pâturage pour conserver des secteurs propices à la petite faune. Sur les grandes parcelles, la mise en place d'un pâturage tournant permet de faire coexister différentes structures et états de végétation, ce qui est favorable à la diversité végétale et animale. Dans cette optique aussi, on privilégiera les traitements vétérinaires avec une faible rémanence (cela est à discuter avec l'éleveur et doit être intégré dans la convention). Attention aussi aux réglementations sur l'abreuvement des bêtes et aux besoins en eau de chaque type de bêtes. Si une mare existe sur le site, il faudra a minima préserver une partie de la mare en limitant l'accès aux bêtes pour conserver des secteurs favorables pour la flore, la reproduction des amphibiens et le développement de la petite faune (coléoptères aquatiques, libellules,...).

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïques, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins, si la parcelle a été divisée. Les bovins sont moins représentés. Les équins semblent laisser trop de zones de refus de pâturage pour constituer une option intéressante dans un projet visant à lutter contre des plantes invasives.

Avoir recours à un éleveur limite les coûts de gestion annuels mais demande souvent un investissement financier plus important au départ. De manière générale, le gestionnaire s'occupe de l'installation des clôtures, de la création de l'abri si nécessaire et du système d'abreuvement des bêtes. En contrepartie l'éleveur met à disposition ses bêtes gratuitement ou avec des indemnités à la charge du gestionnaire (frais vétérinaires, assurances, déplacements,...). L'ensemble est formalisé à l'aide d'une convention qui reprend les obligations et les attentes de toutes les parties.

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Ces premières réponses vous donnent une orientation, une vision générale de votre parcelle, de ses caractéristiques et du futur projet que vous pourriez mettre en place. Nous vous invitons donc à explorer notre plateforme sur l'éco-pâturage, à découvrir ses outils et ses conseils.
La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïques, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins, si la parcelle a été divisée. Les bovins sont moins représentés. Les équins semblent laisser trop de zones de refus de pâturage pour constituer une option intéressante dans un projet visant à lutter contre des plantes invasives.

Avoir recours à un prestataire extérieur peut-être une solution pratique si le gestionnaire souhaite avoir un projet clé en main ou le prestataire s'occupe de tout (clôture, abris, eau, surveillance,...). Cette solution est souvent beaucoup plus couteuse. Des solutions intermédiaires existent aussi pour limiter le coût en prenant en charge certains éléments du projet (installation de la clôture par le gestionnaire, remplissage de l'abreuvoir, construction de l'abri,...). Cependant la location des bêtes et de nombreux autres services "obligatoires" resteront payant pour le gestionnaire.
Retrouver la liste des prestataires de services et sélectionner celui qui correspond le mieux à vos besoins.

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La mise en place d'un projet d'éco-pâturage demande une connaissance précise de son terrain afin d'adapter au mieux la pratique. Des réponses générales associées à vos conditions vous sont proposées ci-dessous, néanmoins certains points sont forcément communs à l'ensemble des projets en éco-pâturage.

En effet, la mise en place d'une clôture qu'elle soit installée par le gestionnaire ou le prestataire doit être en adéquation avec les animaux utiliser sur le site (résistance, hauteur,....). De manière générale, pour faciliter le chargement et le déchargement des bêtes un accès véhicule doit être envisagé (et zone de retournement dans certains cas) ainsi qu'un parc de contention pour faciliter la manipulation des animaux.

Dans un projet d'éco-pâturage nous travaillons avec du vivant, les animaux doivent avoir un espace de vie favorable et agréable. Pour cela, un point d'eau devra être présent (forage, pompe à museau, tonne à eau,...) avec des contrôles réguliers de la qualité, au moins visuels, de celle-ci. La présence d'un abri est nécessaire, celui-ci peut-être naturel (arbres, fourrés,...) pour les protégés toute l'année et notamment des fortes chaleurs en été. Si aucun abri naturel n'est présent, un abri artificiel devra alors être installé. Pour finir, tout au long de la présence des bêtes sur la parcelle, une surveillance devra être mise en place par le gestionnaire en plus de celle des éleveurs ou des prestataires afin de détecter le plus rapidement possible les problèmes qui pourraient être rencontrés (maladies, blessures, clôture abimée,...).

Suite à la compilation de vos réponses précédentes voici l'analyse simplifiée de votre parcelle et de votre futur projet d'éco-pâturage.

Les bovins et les équins seront privilégiés sur une surface aussi importante. Cependant il pourra aussi être possible de diviser la parcelle et de procéder à une rotation dans le pâturage, ce qui facilitera l'utilisation des ovins et des caprins. Il est nécessaire de tenir compte du coût de l'installation de la clôture peut s'avérer important pour une grande surface comme celle-ci.

L'entretien d'un boisement peut se faire avec tout type de bêtes. Cependant il est important d'avoir un secteur ouvert dans la parcelle gérée. En effet, surtout avec les bovins, l'absence de milieux ouverts entraine un retour rapide des bêtes à "l'état sauvage" ce qui complique la récupération des bêtes par la suite. De manière générale, récupérer les bêtes sera plus difficile dans un milieu fermé que dans un milieu ouvert.

La lutte contre une espèce invasive à l'aide de l'éco-pâturage est une solution efficace suivant les espèces cibles. On distinguera les espèces exotiques invasives (Renouée du Japon, Balsamine de l'Himalaya,...) et les espèces autochtones envahissantes (ortie dioïques, ronces,...). Cette lutte se fera sur plusieurs années pour arriver à affaiblir les plantes et les éradiquer. La lutte se fera principalement à l'aide de caprins, voire d'ovins, si la parcelle a été divisée. Les bovins sont moins représentés. Les équins semblent laisser trop de zones de refus de pâturage pour constituer une option intéressante dans un projet visant à lutter contre des plantes invasives.

Cette solution permet de pouvoir avoir la maitrise totale de son projet en éco-pâturage (traitements, durée de pâturage, race utilisés, type de bêtes,...). Certaines démarches doivent être réalisées pour déclarer, acquérir et répondre aux obligations sanitaires et de traçabilités de son troupeau. Il faudra aussi identifier une personne référente pour s'occuper de celui-ci et gérer le pâturage sur le site. Cette solution peut être intéressante s'ils existent plusieurs sites d'éco-pâturage potentiels sur le territoire du gestionnaire.
Démarche pour la création de son propre troupeau, c'est par ici : Aspects réglementaires
Des exemples de gestionnaires qui ont optés pour cette solution : Retours d'expérience

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